Sylvie Retailleau, alors ministre démissionnaire de l’enseignement supérieur et de la recherche, à Paris, le 31 juillet 2024. LUDOVIC MARIN / AFP « Irréaliste, voire dangereuse » : la trajectoire budgétaire envisagée pour l’enseignement supérieur et la recherche en 2025 est sévèrement jugée par la ministre de tutelle démissionnaire, Sylvie Retailleau, dans une lettre dont Le Monde a eu