« Quelle hystérie ! » Un homme exaspéré fait les cent pas dans le bureau du directeur de Sciences Po, au premier étage de l’hôtel de Mortemart, au 27 de la rue Saint-Guillaume, à Paris. L’incrédulité se lit derrière les lunettes rondes de Jean Bassères en cette fin avril. L’administrateur provisoire, qui a dirigé France Travail (ancien Pôle