Mickael quant à lui a commencé à se manifester dans le bourdonnement culturel qui a caractérisé l’état de la musique urbaine dont les assises ont connu bien d’ébranlement durant les décades 1980-90. Dans cette atmosphère, il s’est infiltré en vraie pullulation du syncrétisme musical qui a prévalu avec l’émergence de la nouvelle vague. Entre l’évolution des paramètres natifs et la propagation des sonorités d’outre-mer ; trait d’union entre l’autochtone et l’exotisme. Pour s’engager simultanément dans un itinéraire d’étudiant et d’aspirant baladin. MG s’est bien attelé à se doter d’aura pour se frayer dans la deuxième demi des ‘’nineties’’ un espace même assez restreint au sein du nouvellement fondé « K’Dans ». Avec lequel il a constitué un back up ordinaire pour Jude Jean.