Le mercredi 23 février 2022, au cours de la manifestation des ouvriers refusant catégoriquement d’agréer aux 685 gourdes imposés par le gouvernement et réclamant de préférence non seulement un salaire journalier de 1500 gourdes mais aussi une amélioration des conditions de travail et d’autres accompagnements sociaux, des journalistes ont été la proie d’une féroce brutalité