Des étudiants manifestent contre l’islamophobie devant le campus de Sciences Po Grenoble, à Saint-Martin-d’Hères (Isère), le 9 mars 2021. PHILIPPE DESMAZES/AFP La relaxe est confirmée pour les dix-sept étudiants de Sciences Po Grenoble, qui étaient encore poursuivis pour avoir mis en cause en 2021 deux enseignants, accusés d’islamophobie. Jugeant que leurs propos « n’ont pas dépassé les