« Après tout, personne n’est mort. » Ces propos du maire de Mazan, sous le feu des projecteurs en raison du procès d’une cinquantaine d’hommes accusés de viols commis dans la commune du Vaucluse, ont suscité de vives critiques, notamment des mouvements féministes, qui dénoncent une culture du viol portée à son paroxysme. « On me reproche d’avoir