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États-Unis : Steve Bannon devra commencer à purger sa peine d'ici juillet - Haiti24

Coup dur pour le camp Trump aux États-Unis : l'idéologue star de la droite populiste, Steve Bannon, est sommé d'effectuer sa peine de prison de quatre mois imposée par la justice en octobre 2022. Il s’était rendu coupable d’entrave au travail d'enquête du Congrès dans l'affaire de l'attaque contre le Capitole. Un juge fédéral de Washington a fixé un ultimatum à Steve Bannon. L’ex-conseiller de Donald Trump a jusqu’au 1er juillet 2024 au plus tard pour se présenter en prison.Dès sa sortie du tribunal, Steve Bannon a affiché un sourire de défiance et s’est posé en futur prisonnier politique de ce qu’il appelle le « régime Biden ». Après sa condamnation à 4 mois de prison ferme en 2022 pour avoir refusé de répondre à sa convocation devant la commission d’enquête parlementaire sur l’assaut du Capitole le 6 janvier, Steve Bannon a épuisé tous ses recours. À 70 ans, il reste l’idéologue le plus influent de la droite pro-Trump. Le stratège de la droite américaine devrait sortir de prison à quelques jours de la présidentielle mais n’en aura pas fini avec la justice pour autant. Steve Bannon doit encore être jugé dans le même tribunal que celui qui vient de condamner Donald Trump à Manhattan, dans une autre affaire de corruption cette fois. Il est accusé par le procureur de New York d’avoir détourné des fonds collectés auprès de partisans de Trump pour finir le mur à la frontière mexicaine.Donald Trump a quant à lui réagi sur son réseau social, déplorant une « totale tragédie américaine ». Il a accusé, une fois de plus, l'administration Biden d'instrumentaliser la justice contre ses opposants.Lors de son interview à la télévision américaine, l’ex-président a également été interrogé sur celui ou celle qui serait son vice-président. Donald Trump a assuré qu’il dévoilera son choix lors de la convention du Parti républicain, c’est-à-dire le mois prochain. Pourtant, la presse se fait déjà l'écho des noms qui circulent avec un flou persistant sur cette question, y compris sur la date. Le Washington Post rappelle ainsi que « Donald Trump est connu pour changer d'avis et prendre des décisions qui ont parfois surpris même ses propres conseillers ».La presse de gauche, elle, s'inquiète des critères pour le moins surprenants du candidat à la Maison Blanche. Le mensuel The New Republic avance sur son site que « la beauté de l'épouse » du potentiel vice-précident retenu, « est un facteur important » pour l'ancien président. D'autre part, même les favoris parmi les favoris pourraient se voir écartés selon d'autres critères, plus légaux ceux-ci. Le magazine Forbes rappelle par exemple que le sénateur Marco Rubio, dont le nom circule régulièrement, pourrait se heurter à la Constitution américaine. Car il est « interdit aux grands électeurs de voter pour un candidat à la présidence et un candidat à la vice-présidence tous deux originaires du même État ». Or, Marco Rubio vient de Floride. Et « Trump a changé sa résidence officielle de New York à la Floride », note Forbes. Le suspense quant au potentiel futur vice-président reste donc total.En

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