La chute d’Alep-Est, tombée aux mains des rebelles lors de l’offensive djihadiste en Syrie, a suscité des réactions ambiguës des pays occidentaux. Alors que la situation aurait dû appeler à une condamnation unanime de la progression des groupes armés, y compris des factions radicales, une partie des puissances occidentales a exprimé une satisfaction voilée, estimant que ce revers affaiblissait le régime syrien soutenu par la Russie.