Oronce de Beler en train de humer une de ses « mousses sauvages », en février 2024. LORENE CREUZOT Si l’on surprend Oronce de Beler, la quarantaine bien entamée, pénétrer dans son imposante bâtisse en pierre située en plein cœur de Nuits-Saint-Georges (Côte-d’Or), on imagine avoir affaire à un homme du terroir bourguignon. Pourtant, ni la Bourgogne