Un collectif de proches de victimes de l'attaque terroriste meurtrière commise fin août à Barsalogho, au Burkina Faso, a dénoncé le "mépris" du chef de la junte, le capitaine Ibrahim Traoré, et pointé sa "responsabilité". Plus de 400 personnes sont mortes, selon le collectif, lors de ce massacre perpétré le 24 août et revendiqué par le Groupe de soutien à l'islam et aux musulmans, lié à Al-Qaïda.