Peut-on comparer la situation qui a produit le coup de force de septembre 1991 et celle qui a conduit au kidnapping de février 2004 à ce que nous vivons présentement dans le pays ? Ce ne sont évidemment pas les mêmes époques et si l’on doit se fier aux déclarations peu ambiguës de Madame La Lime et du Core Group, aucune perspective de coup d’état sanglant ou en douceur ne semble être à l’ordre du jour.