Des Libanais regardent un discours télévisé du chef du Hezbollah Hassan Nasrallah, à Zawtar, le 19 septembre 2024. AMMAR AMMAR / AFP Sans préjuger de l’ampleur que prendra la riposte militaire du Hezbollah, qualifiée par anticipation de « terrible » jeudi 19 septembre par son chef, Hassan Nasrallah, après la vague d’explosions de bipeurs et de talkies-walkies mardi