Marguerite Sutter a grandi aux Grésilles, un quartier populaire du nord-est de Dijon. Elle a vu la construction des grandes barres dans les années 1950, puis leur destruction dans les années 2000. Elle a vu l’arrivée des rapatriés d’Algérie puis des immigrés espagnols et polonais. Elle se souvient encore du bruit des bombes