Daniel Cordier au Mont Valérien, en 2008. ERIC FEFERBERG/AFP La confidence arrive au bout de deux cents pages, et elle dit toute la complexité du personnage : « Depuis l’extraordinaire intensité de la guerre, j’éprouvais par période un besoin d’action, mais aussi l’envie d’avoir des dettes pour trouver ce point de déséquilibre où je me sens le mieux. »
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