Le site d’Hayange (430 salariés), ici en 2011, fabrique des rails en acier pour des clients européens, notamment SNCF Réseau et la RATP. JEAN-CHRISTOPHE VERHAEGEN / AFP Trois groupes, l’allemand Saarstahl, l’italien Beltrame et ArcelorMittal, s’étaient dits intéressés par la reprise de l’aciérie