Son prénom nigérian, c’est Odion. Celui qu’elle portait lorsqu’elle se prostituait autour de la gare Saint-Charles, c’était «Tassy». Appelée à témoigner, jeudi 7octobre, devant le tribunal correctionnel de Marseille, la jeune femme de 34ans n’a plus peur. Ni du «juju», cette cérémonie vaudou pratiquée au Nigeria avant son départ pour l’Europe, au cours de laquelle
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