Depuis une vingtaine d’année en Haïti, on assiste à une migration interne continue des gens de la campagne vers les centres villes. Leurs déplacements est la résultante de multiples facteurs, citons entre autres: l’absence quasi-totale des services sociaux de base nécessaires à l’épanouissement physique, social et spirituel de l’être (éducation, santé, eau potable, loisir, etc.) ; la perte des espaces cultivables sous l’effet de l’érosion, conséquence directe du déboisement.